On a osé se mentir (pv Mustang)

Rigolant alors quand elle décrit panthère noire, je ne peux alors m'empêcher de lui dire :

- Et bien alors on est foutu pour la compassion de cette femme.

Souriant de coin, je hausse les épaules et ajoute :

- Mouais c'est ce qu'on dit... Je te rappelle que je te connais par coeur chère demoiselle.

Regardant alors la salle après sa question, je fini par répondre :

- Elle est pas mal, après je me demande bien s'il serait possible de venir hors cours pour s'entraîner, comme ça on ne sera pas à la ramasse.

L'embrassant sur le front, je caresse ses cheveux délicatement et lui répond :

- Nos nuits vont être courte dans tous les cas, surtout si on veut rester ici ma muse.

Mettant ma main libre dans ma poche, j'ajoute :

- Mais on bosserra à deux ne t'inquiète pas.

M'approchant de son oreille, je lui dis :

- Et si j'ai besoin d'une pause, je m'approcherais de toi, te masserais doucement les épaules et finirai par t'embrasser dans le cou, pour ensuite ta clavicule et de te prendre dans mes bras et t'emmener là où je peux te poser pour retirer tout tes vêtements, caresser chaque parti de ta peau....

L'embrassant sur la joue, je lui offre un sourire et lui dis pout finir.

- Et je te laisse imaginer la suite, juste pour que tu en as envie autant que moi.

Oui je la chauffé, j'adorais ça, rien que la voir frisonner sous mes doigts j'adore ça. Lui disant alors d'imaginer la suite, je la regarde revenir vers moi et la laisse poser une de ses mains sur son torse pour ensuite glisser ses ongles dessus. Mordant ma lèvre, je pause mon regard sur elle et tout en posant mon bras autour de son épaule, je vois un peu plus loin dans la pièce une porte. Allant vers celle-ci en sa compagnie, je lui dis tout en essayant de l'ouvrir :

- Pour la démonstration je me demande si c'est raisonnable.

Reussissant à ouvrir la porte, celle-ci n'étant pas verrouillé, j'entre avec ma muse et m'aperçois qu'on est dans des vestiaires, refermant la porte, je me tourne vers Thalie et tout en la posant contre la porte, je pose une main contre celle-ci et dépose mes lèvres dans le cou de ma muse. De ma main libre, je la pose contre sa hanche et fini par lui murmurer à l'oreille :

- Tu es sur de vouloir une démonstration détaillé ?

sourire sur mes lèvres alors que j'embrasse son cou qui met complètement accès, je la laisse tirer sur ma chemise et passer ses mains en dessous pour ensuite lui répondre :

- Tu devrais imaginé, tu verrais ce que tu ressentiras tout ce que tu as imaginé on peut le faire.

De mes mains, je descend délicatement vers le bas de son haut et le tient fermement pour l'enlever d'un seul coup. Me laissant à disposition, tout le haut de son corps, je laisse alors promener mes lèvres sur le haut, cou, clavicule et tout en posant mes mains derrière ses fesses, je la colle contre moi. Sentant alors ma peau contre la sienne, je pase une main sur son ventre et la fait tourner pour l'avoir dos à moi. Poussant ses cheveux pour reprendre possession de son cou, je l'embrasse pendant que ma main posé sur son ventre, descend tout doucement vers son pantalon, deboutonnant son bouton, je glisse toujours au dessus de son sous vêtement quelques doigts. Trouvant déjà l'endroit humide, je souris et continu mes baisers. Trouvant alors le chemin je joue au début avec son clitoris et la pénétre doucement avec deux doigts. La laissant aller contre moi, mon autre main de disponible, se promène sur son corps et s'arrête sur le côté de sa poitrine. M'approchant de son oreille, je lui dis :

- Alors c'est mieux d'imaginer ou de ressentir ?

Mordillant son clobe, j'accentu le mouvement de mes doigts en elle, pour l'entendre tout en me répondant soupirer de plaisir

Souriant à ses paroles rempli de plaisir, j'accentu doucement mes doigts, quand mes lèvres fini par trouver les sienne, je l'embrasse et la laisse déboutonner mon jean pour la suite. Sentant sa main glisser et ses doigts s'enrouler autour de ma verge, j'en perd un petit gémissement. De ma main libre, j'abaisse le pantalon de celle-ci afin qu'il tombe au sol suivant son sous-vêtement.

Accentuant encore et toujours mes doigts à la même allure des siens autour de mon penis, je fini par enlever mes doigts de ses lèvres mouillé et la retourne vers moi et me coller contre elle.

La portant jusqu'au banc un peu plus loin dans la pièce, je l'allonge délicatement et tout en l'embrassant la caresse de mes doigts. Basculant alors sur elle, sans pour autant l'écraser, j'écarte un peu ses jambes pour me placer et pouvoir trouver le chemin sans difficulté. Commençant alors des vas et viens doucement, je la regarde, lui caresse le visage et fini par reposer mes lèvres sur les siennes et de chercher sa langue avec la mienne.

Tenant son bassin avec mes mains, je la pénétre doucement et joue de mes coup de bassin pour la faire craquer. Tenant alors ses fesses d'une mains en dessus, je laisse glisser l'autre sur son ventre et enroule l'un de ses seins tout en l'embrassant et me collant beaucoup plus à elle. N'arrêtant pas mes vas et viens en elle, je pers parfois des petits gémissement contre ses lèvres mais continu mes baiser accentuant mes mouvement tout en ayant sa réponse de ma langue sur la mienne

Collé à ma muse, je n'arrête pas pour autant les vas et viens, alors que je sens ses ongles se planter dans mon dos, je lui donne même un gros coup de bassin. Mes lèvres collaient toujours au sienne, j'accentu les vas et viens et descend mes lèvres au niveau de son cou. Entendant alors un gémissement de plaisir, j'accélère petit à petit mes coups de bassin. Quand alors j'entend ses paroles, je retire ma main au niveau de ses seins et la remet au niveau de ses fesses pour bien la maintenir.

- Je ne m'arrête pas...

Accentuant les vas et viens, la monté de plaisir et tellement là, je la sens ce remplir partout en moi. Accélérant alors encore je voulais l'entendre, je voulais qu'elle atteint l'orgasme. Approchant alors l'une de mes mains au niveau de son clitoris, je passe doucement mon pouce dessus joue au rythme de mes coup de bassin avec.

Remettant les lèvres sur les siennes, je lui mord doucement et tout en continuant mes vas et viens et avoir remis ma main au niveau de ses fesses, je lui dis :

- Si je continu comme ça, je ne vais pas tarder ma muse.

Lui donnant un grand coup de bassin, les vas et viens continu, mais jusqu'à quand je vais réussir à tenir. Il faut que je tienne jusqu'à ce qu'elle vienne.

Arrêtant de la titillé avec mon pouce, je n'arrête pas pour autant mes vas et viens dans elle. Sentant ses ongles dans ma peau, je serre les dents. Lui disant alors que si je continu comme ça je risque de ne pas tarder, celle-ci se colle contre mon torse et murmure alors que je devais venir.

Sentant ses dents sur mon épaule, je lui donne un grand coup de bassin et me voilà submergé à mon tour. Mordant ma lèvre pour éviter de crier de plaisir, je continu mes vas et viens et gémis mal tout entre mes dents. Sentent son dernier coup de bassin, je ne peux me retenir cette fois ci que le son sort de ma bouche. Stoppant alors tout mouvement, je frissonne, je reprend ma respiration.

- La vache Cassi, me dis pas que je suis marqué avec tes dents ?

Je sentais la douleur au niveau de mon épaule, elle avait pas fait ça tout de même ? L'embrassant, je lâche ses fesses et passe une main sur la morsure. Je sens bien des marques...

Touchant la morsure, je regarde mes doigts et fini par sourire en coin.

- Tu as de la chance, je ne saigne pas... Enfin je fais comment maintenant mademoiselle ?

Mon regard sur elle, je souris et remu une dernière fois en elle pour ensuite me retirer doucement tout en prolongeant son baiser.

La regardant avec le sourire aux lèvres, je ne peux m'empêcher de dire :

- D'accord, mais ça voudrais dire que ma copine est à l'extérieur. Donc on ne peut pas nous voir ensemble côté chambre parce que sinon je serais un salop de première ordre...

Elle savait très bien que je n'aimais pas ça. Les personnes qui m'ont traiter de ce mot, on était directement à l'hôpital, chose qu'ici, cela voudra dire que je vais être mis à la porte.

La regardant allez chercher ses affaires, je fais de même et sourit en disant :

- Promis la prochaine fois c'est toi qui a une marque sur toi.

Je ne savais pas encore laquel mais je trouverais

Rigolant quand je l'entend me dire que j'oublie l'idée quelle était stupide, surtout en repensant à la dernière fois où ça a mal fini. C'est vrai que ça avait mal terminé. Mais qu'importe ça avait été fait.

- ça a mal terminé pour lui pas pour moi.

Oui j'avais les poings qui partaient vite, même très vite. L'académie devais le savoir, vu que j'ai même été une fois en garde à vue jusqu'à temps que mon père vienne me récupèrer.

La regardant me sourire quand je parle de la marquer ma prochaine, celle-ci me répond alors que la marque c'est quand je voulais. M'approchant d'elle après m'avoir rhabillé, je pose mes deux mains autour d'elle sur le banc et m'agenouille pour répondre avec le sourire :

- Ne me tente pas ma muse, parce que quand je trouverais, je ne ferais pas les choses à moitié.

Posant mes lèvres sur les siennes avec le sourire, je remonte une main tout le long de son côté, son bras et fini par passer ma main dans ses cheveux. Le rompant à contre coeur, je lui vole un dernier baiser et me relève.

- J'espère qu'il y a personne dans la salle, sinon on va se faire directement chopé ma belle

Mon regard sur elle, je lui souris et fini de mettre mes chaussures. Me relevant, je me dirige vers la porte et rigole doucement quand elle dit le motif du renvoi et surtout que nous étions sûrement pas les premiers et encore moins les derniers.

- Pas faux, mais bon, la prochaine fois, avant de baptiser un vestiaire de nos ébats, baptisons déjà nos chambres. Je suis sûr qu'il y a plein d'endroit dans celles-ci où l'on va pouvoir le faire.

Le sourire aux lèvres, je pose ma mains sur la poignet après avoir écouté s'il y avait quelqu'un. Pour moi personne... Ouvrant, je me retourne alors vers Cassi et lui réponds :

- Nous pouvons continuer mademoiselle Thalie.

Souriant, je m'avance vers la sorti de la salle et arrive dans le couloir.

- On fait quoi on monte où on descend ?

Regardant Thalie après lui avoir demandé où elle souhaitait aller, je hausse les épaules à sa réponse. Le sourire aux lèvres, je lui réponds alors à mon tour.

- Va pour en haut alors. On devrait vite trouver le toit je pense.

Me dirigeant vers l'escalier, j'ouvre la porte pour la laisser passer avec le sourire.

- Peut-être que de là haut, on aura une magnifique vu.