On a osé se mentir (pv Mustang)

Rigolant, je fini par mettre mes mains dans mes poches arrière et continu à avancer tout en disant à ma muse.

- Ne t'inquiète pas, il en faudra beaucoup pour nous mettre à la porte. On est peut être pas les plus doué mais on est loin d'être les plus faible aussi.

Marchant calmement, je pose alors mon regard sur le bracelet au bras de Cassi. Haussant les épaules, je lui dis :

- Je ne pense pas qu'il sera gênant, il est bien serré à ton poignet, ce n'est pas comme ci il se promenait au niveau de ton avant bras.

Souriant, je reste un moment bloqué sur sa main, qu'est ce que j'avais envie de la prendre et de entrelier mes doigts au sien. Rigolant alors à ses dernière paroles. Je m'arrête et me tourne vers elle.

- Qu'est ce que tu as comme question qui te vient en tête. Pour le tatouage qu'entre nous deux je ne sais pas pourquoi... Peut être parce qu'on vivait encore chez nos parents et que je suis sûr ta mère aurait fait un scandale en le voyant. Et elle aurait dit que s'était de ma faute, que je te fais mal tourner.

Continu de rigole et poursuit :

- Et pour ici, je ne sais pas si un en commun serait possible. Tu nous vois capturé tous les deux et qu'ils se rendent compte qu'on se connaît grâce à notre tatouage. Ils seront directement qu'on a un lien et ferons tout pour savoir en torturant l'autre.

Oui j'imaginais le pire mais bon, je ne voulais pas qu'on fasse de mal à Cassi, donc autant éviter toute les ressemblance commune

regardant, oui j'avais mis ses idées à la poubelle d'un seul coup, soupirant, je m'approche d'elle et pose ma main sur sa joue, tant pis les caméra, j'ai besoin de la rassurer.

- Tu sais on a pas besoin de tatouage. Enfin je n'ai pas besoin de cela pour te dire ou te montrer à quel point je tiens à toi. Je t'ai dans la peau déjà d'ailleurs et même si personne ne le vois, moi je le sais et j'espère que toi aussi.

Caressant sa joue, je me remet à marcher à ses côté et quand je vois la porte du réfectoire qu'elle me montre je souris.

- Si c'est ainsi, on risque pas de ce perdre. Allons voir si c'est le cas. À moins que tu veuille boire quelques choses. Je vois au loin qu'il y a des machines à boisson chaude et froide.

Lui souriant, quand nous arrivons face au réfectoire et que je lui demande si elle veut boire quelques choses, celle-ci me répond que non. Haussant les épaules, je le remet à ses côtés et lui dis :

- Oui continuons.

Marchant alors dans les couloirs, je vois au loin écrit l'infirmerie et un escalier. Ne disant rien, je suivais Cassi. Est-Ce que nos vies ici allait être aussi bien qu'en dehors... Bonne question!.

Sentant la main de ma muse sur moi, je m'arrête net et sourit à ses paroles. C'est sûr que voyant se point de vu là, ça donne pas envie d'y aller.

- J'en dis que de toute manière, on ira pas. Enfin déjà toi, parce que t'y n'as pas le droit.

Lui offrant un sourire, je lui passe la langue et fini par tourner vers les escaliers quand elle m'agrippe le bras et me fait gravir quelques marches avant de m'arrêter pour me regarder. Entendant alors sa question, je la regarde tendrement, regarde autour de nous, au plafond, au mur. Rien. M'approchant alors d'elle, je pose mes mains sur ses joues et pose mes lèvres sur les siennes.

- Je te le promet, on ira où tu veux rien que toi et moi.

Me détachant d'elle à contre coeur, je monte les escaliers à ses côtés et arrive au premier étage. Tenant la porte pour la laisser passer et arriver dans les couloirs, je lui souris et lui dis :

- Après vous chère Thalie

Le sourire alors auX lèvres quand je remonte les escaliers, je la vois soupirer, ce qui ne peux m'empêcher de dire

- C'est quoi que ce soupire ma muse ?

Lui offrant un sourire quand elle me remercie, je la vois se stopper et me montrer des portes ouverte. Grimaçant, je lui dis alors à voix basse :

- Il y a peut être des cours, tu veux qu'on essai le deuxième étages ?

La regarde repartir vers les escaliers, je la suis et me retrouvant près d'elle, je la laisse s'approcher de moi et me glisser à l'oreille qu'elle en avais jamais assez. Souriant, je mord ma langue à l'intérieur de ma bouche et fini par lui répondre :

- Si tu savais...

Lui souriant, je la suis vers le second étage et passe la porte que celle-ci me tient tout en disant :

- Merci mademoiselle.

Fronçant les sourcils en la regardant faire et surtout en entendant que les salles son vide, je met mes mains dans mes poches arrière et fini par dire :

- ça doit être le cas au première étage alors.

La suivant alors, je souris par sa curiosité et la suit doucement. Salle de combat... Rigolant à ses paroles, je regarde un peu partout et fini par dire

- Ça va encore je trouve, même s'il y a des trucs que c'est pour fille et non pour mec.

Rigolant je me demande bien comment on peut combattre sur une poutre de gym. Il faut beaucoup d'équilibre. Habituellement les poutre son pour les filles non ? Enfin ça ne doit pas être le cas sinon ça ne serait pas là.  

- Hâte de commencer les cours !

La regardant pianoter la poutre, je souris et fini par m'approcher de la fenêtre et de regarder la forêt.

- Je pense qu'on va avoir mal tous les jours oui.

Je suis loin d'être une chochotte, mais je pense qu'on va bien en chier. Grimaçant je me retourne vers elle et lui dis :

- Te fou pas de moi surtout, parce que marcher dessus, je pense y arriver mais combattre dessus, pas sûr.

Me tournant vers elle quand elle me promet de ne ps me moquer de moi et qu'elle m'aiderait à m'améliorer. Je mords ma lèvre sans le faire exprès comme la plupart du temps et lui dis :

- Tu es parfaite, tu le sais ça ?

Je nous vois bien nous entraîner tous les deux pour être meilleur que les autres. Ça pourrait être pas mal. Mettant alors mes mains dans mes poches et part la sorti de la salle.

- C'est parti ! Après vous jolie demoiselle.

Le sourire aux lèvres, j'attend qu'elle passe pour la suivre

Rigolant alors à son air faux de snob, je sors de la salle et avance dans le couloir, il y a encore trois salles. Regardant les noms sur les portes, je souris et m'arrête devant celle d'informatique.

- Mon péché mignon, s'il savait ce que je peux faire avec ses boîtes en métal.

Souriant, oui j'adorais ça, rien que pirater l'ordinateur de mon père je m'éclate surtout quand il hurle sur moi après. Bon pas vraiment cool les hurlements, mais ça montre qu'il ne sait pas se défaire de mon piratage après tout.

Rentrant dans celle-ci, je vois deux ranger de deux tables avec des ordinateurs et d'autres outils plus loin. Je me demande bien ce qu'on va pouvoir faire hors ordinateur. M'approchant d'une table ronde au centre de la salle, je me demande bien à quoi elle sert. Pourquoi pas comme dans les films, à faire apparaître des plans en 3D ou encore des personnes....

Dans cette salle je reste silencieux, à savoir pourquoi, peut être parce que je suis en contemplation face à cette salle

Rigolant quand ma muse romp le silence en me demandant si c'est mon nouveau paradis, je souris et autour mon bras à ses épaules.

- Deuxième paradis je pense oui.

La regardant j'ai un sourire aux lèvres et ajoute en rigolant :

- mon premier paradis c'est ta chambre, là bas je suis sûr d'être avec toi.

Profitant de son baiser sur ma joue, je lui souris. J'avais été franc, rien ne passe avant elle dans la vie, même ma moto passe après elle, mais bon ça il ne fallait pas le dire.

Je me sentais bien dans cette pièce. Tournant alors la tête vers Thalie quand j'entend sa voix, je souris et fini par lui répondre :

- Bien sûr que je t'aiderai et promis je serais sage.

Le sourire aux lèvres, je marche avec ma muse à mes côté et lui demande :

- TU veux aller où maintenant ?

Le sourire aux lèvres quand celle-ci me dit qu'elle adore quand je n'en suis pas sage, je pose mon regard sur elle et lui répond :

- Oui je le sais très bien mais pour apprendre ou réviser des choses il va bien falloir que j'y suis.

Marchant auprès de ma muse, je la suis jusqu'au cours d'escrime, grimaçant je lui fais alors remarquer.

- Tu es en train de la rousse nommé Panthère noire, elle a pas l'air dans la compassion cette femme. Mais bon après je peux me tromper.

Lui souriant, je vois dans son regard un peu de stress, m'approchant d'elle je lui dis :

-T'inquiète pas ça va aller, on est là pour apprendre après tout. Il faut juste pas que tu te démonte et que tu montres que tu as envie de y arriver.