On a osé se mentir (pv Mustang)

Mon regard sur elle, je souris quand elle me dit qu'elle ne risque pas de se mettre à hurler. Je mords alors ma langue pour ne pas dire ce que je pense, mais fini tout de même par dire avant de rigoler doucement :

- Dommage, j'aime bien t'entendre moi, bon peut-être pas hurler mais faudrait voir si c'est insonorisé au fait.

Montant alors les escaliers, nous arrivons dans le couloir pour attendre ensuite devant sa chambre. Vivre ici allait-il nous plaire ? Après tout nous étions là pour des études pas pour le plaisir. Passant alors une main dans mes cheveux, je fini par lui demander :

- Au fait dis-moi, à notre sorti d'ici, tu comptes allez revivre avec les parents ?

Oui je n'étais pas sérieux de lui dire ça... Enfin après je lui disais tout alors pourquoi ça changerai aujourd'hui. Arrivée enfin en haut, je m'arrête devant sa porte en lui demandant juste après si elle allait retourner chez les parents après nos études ici. Celle-ci répond qu'elle compte surtout s'acheter un appartement et y vivre sans eux sur le dos. Faisant alors un petit sourire quand elle ouvre la porte, je la suis à l'intérieur pour laisser près de la penderie sa valise et son autre sac.

Me tournant alors vers elle quand elle me demande ce que moi je compte faire. Je repasse l'une de mes mains dans mes cheveux et fini par dire :

- ça ne va pas non, tu veux ma mort ? Non... Je enfin... je me demandais si ça te dirait de vivre avec moi... enfin qu'on emménage ensemble quoi....

La regardant faire, je fronce un sourcil quand je l'entends me répondre. M'avançant alors vers elle, je fini par dire :

- ça n'a pas l'air de t'enthousiasmer plus que ça. Si ?

Je pose mes deux mains sur le bureau autour d'elle et la regarde droit dans les yeux pour attendre sa répondre. Qu'est-ce qui l'embêter comme ça ?

La laissant poser ses mains sur mon torse, je la regarde et l'écoute m'expliquer ce qui ne va pas. Mon regard posé sur elle, je lui caresse la joue du bout des doigts et fini par lui dire avec un sourire en coin.

- Je ne te dis pas de les tenir au courant, après ses études, nous allons être espion, nous n'allons plus vraiment être là. Ils n'ont besoin de pas le savoir. Et si je dois te demander en mariage ou changé de nom pour être avec toi sans qu’il ne puisse plus rien nous dire, je le ferais Cassi. On sait déjà assez cacher comme ça d'eux. Tu es ma demi-sœur, certes... mais tu es celle pour qui je suis prêt à tout faire. Alors si tu veux un appart avec un grand lit et s'il faut une chambre d'ami au cas où tu ne me supportes plus, on fera comme ça. Moi je veux juste être avec toi et surtout ton bonheur.

Oui j'avais tout déballer, mais qu'importe. Nos parents ne pouvaient rien dire sur les sentiments que j'éprouvais pour elle et si c’était le cas, qui me retiré leur nom, le temps que j'étais avec elle, le reste je m'en fichais.

Le sourire sur mes lèvres, je la regarde et me colle encore plus sur elle. Passant mes mains au niveau de ses hanches, je fini par lui répondre :

- Un grand lit et bien plus encore.

S'était déjà un premier pas un logement et un grand lit, mais je pensais au mariage avec elle, quitte à aller nous marier en Amérique s'il faut. Mon regard posé sur elle, j'ajoute :

- Tu le veux ou pas ? En tout cas moi oui si ça peut te rassurer, ce n'est pas une blague ce que je te propose là maintenant.

Mon regard sur elle,je suis près d'elle et je lui parle sérieusement, et oui ça marrive. Attendant sa réponse, je lui souris, elle le veut !

Me laissant allez près d'elle, je me laisse embrasser et accentu le baiser quand celle-ci pose l'une de ses mains sur ma joue. Me collant encore plus d'elle, je la colle à mon bassin et lui caresse le dos du bout de mes doigts.

- Tu veux faire quoi dis moi ?

La regardant après qu'elle sait un peu décollé de moi, je lui souris quand j'entend ses suggestions. La première était tentante je dois bien l'avouer, de plus j'adore qu'elle profite de moi, cela voulait dire que s'était la même pour moi. Mais visiter l'école n'était pas une mauvaise idée non plus. Après tout elle a raison en disant que cette école allait être notre maison durant les années à venir.

- Hmmm je te dirais bien la visite et après ça tu pourrais profiter de moi, qu'en penses-tu ?

Son corps contre le mien et ses baisers, comment voulait-elle que je me calme quand elle fait ça ? Jouant avec nos langues, je passe mes mains sous sa chemise et lui caresse la peau. Quand elle me repouss, je ne peux m'empêcher de fermer les yeux pour reprendre mes esprits. Oui si je continuais, je ne sais pas si je pourrais m'arrêter alors autant ne pas tenter le diable. Déjà que là, c'est dur, alors si on avait continué...

La laissant glisser du bureau pour toucher le sol, elle me vole un dernier baiser et par enfiler sa veste. Quand elle me demande si on y va, je la regarde, elle était magnifique cette fille et qu'est ce que je l'aimais.

M'approchant d'elle, je passe mes mains au niveau de sa taille et lui dis :

- On n'y va, mais surtout ne dis à personne que je suis ton demi-frère, s'il te plaît. Ici je veux être plus que ça, et même si on ne doit pas l'ebruiter et le montrer. Ici je veux être ton petit ami. Ça marche ?

Mon père était son père, certes, nos mère n'était pas les même. N'avons nous vraiment pas le droit de nous aimer tranquillement ? Ici grâce à nos surnoms, personne ne pouvait savoir nos vrai identité donc autant me dire que ici c'est ma nouvelle vie et ma nouvelle vie ne sera pas sans la personne que j'aime.

Tout en restant près d'elle, je lui dis ce que je souhaites et la voit se dégager par la suite pour me répondre. Soupirant, je passe mes deux mains derrière ma tête et va vers la fenêtre pour regarder dehors.

-Je suis au courant oui, et si un jour je suis convoqué, je lui dirais que les gens nous voit proche c'est pour ça qu'ils disent ça. Après Cassie, je ne te demande pas de jouer un jeu, je te demande juste d'être toi. Personne n'a à savoir notre passé. On se connaît déjà point, tu crois que personne se connaît à leur arrivée toi ?

Me retournant vers elle, je hausse les épaules et dépose mes mains dans mes poches arrière pour lui répondre de nouveau.

- Je suis prêt à être renier de la famille tu sais, le temps que je t'ai toi. A la maison ce n'était pas pareil, les parents l'auront su, il t'aurait envoyé dans un pensionnat ou même moi. Ici il y a Lannister, alors oui je ne pourrais pas te prendre dans mes bras à chaque instant, je ne pourrais pas t'embrasser quand j'en ai envie car je le connais il gardera un oeil sur moi surtout si mon père lui a demandé. Mais en aucun cas, je veux mettre fin à ce qu'il y a entre nous, je t'ai trop dans la peau pour devoir me dire que toi et moi c'est fini juste pour cette école ou à cause de mon oncle.

Je lui avais donné mon avis et déjà réfléchi à la situation, enfin je venais juste de me la passé en tête. Au moins, c'est ce que je pense et c'est ce que je compte faire si ça arrive. La voyant venir vers moi, elle me prend le visage entre ses mains et m'embrasse en souriant. Prolongeant le baiser, les quelques instant qu'elle me laisse avant de se décoller, je la regarde, elle qui a toujours le sourire. Souriant de coin, lui caresse la joue quand elle me dit que très bien alors on ne change rien.

Comment ne pas être heureux dans ce cas là ? Lui prenant la main tout en quittant la chambre, je sors de celle-ci et l'attend les mains dans les poches qu'elle referme la porte derrière elle.

- Tu veux commencer par où ?

La regarde se faire presque bousculer, je regarde le mec de travers. Et le pardon ça existe pas ? Punaise, je crois que mes poings vont vite partir si ça continu comme ça... Reposant mon regard sur Cassi quand elle se remet à parler, je lui souris et fini à part l'attirer devant moi et de poser mes mains sur ses hanches et de m'approcher pour lui dire à l'oreille :

- Alors on sort directement d'ici et on verra ce qu'on fait dehors. Ça marche ?

La gardant proche de moi, je passe mes pouces sous sa chemise et commence à lui caresser le bout de peau que je peux toucher. L'embrassant sur la joue, je la fais alors avancer et descendre les escaliers sans encombre, étant donné que je la protégé avec mes bras, je pense que si une personne aurait réussi à la touché, elle s'aurait prit une retourner de ma part.

Arrivée dehors, je me détache d'elle en voyant des caméras un peu partout. Punaise Lannister est vicieux de toujours nous regarder comme ça. Le sourire aux lèvres, je me tourne vers Cassi.

- Maintenant ma muse, tu souhaites aller où ? On commence par les étages du grand bâtiment pour descendre et revenir sur nos pas après ou on commence par le rez de chaussée et on monte ?

La regardant de bas en haut, je souris en me disant que moi j'aimais bien les deux, mais avec elle. Mais bon sang, qu'est ce que j'avais l'esprit tordu en compagnie de cette fille. Bon surtout avec le fait que juste avant on était collé serré à s'embrasser. Passant mes deux mains derrière la nuque, je me mord la lèvre de l'intérieuse pout éviter de penser à ça et fini par dire :

- On y va ?

Positonnant Cassi devant moi, je ne voulais pas qu'elle se fasse bousculer ou que quelqu'un lui fasse mal. Descendent les escaliers tout contre moi, j'étais heureuse d'arrivée enfin dehors. Je nous voyais mal nous tordre la cheville ou autre dans les escaliers à cause d'un abruti. Là je suis sûr qu'on se fait directement viré... enfin.

Arrivée dehors, j'observe toute les caméras, Pfff sérieusement quoi, je ne comprends pas pourquoi il y a toutes ses caméras, normalement on doit avoir confiance en nous et pas le contraire, mais bon, à croire que ce n'est pas le cas.

Souriant à la réponse de ma muse, je regarde le grand bâtiment et hausse les épaules :

- Il doit y avoir deux étages et regarde, une fille marche sur le toit.

Souriant, je met mes mains à l'arrière de ma tête et marche vers le grand bâtiment. Je me demande bien les cours qu'on pourrait avoir.

- J'espère qu'ils vont être intéressant les cours au moins.

Marchant au côté de la muse, je souris quand elle le dit qu'on les rendra plus fun. Je ne peux donc m'empêcher de dire :

- En espérant que nous pourrons. Enfin vu les troisième années, ça devrais le faire le cours je penses.

Me retournant vers elle, je la regarde enlever sa veste et rigole à ses paroles :

- Tu vas t'y faire ne t'inquiète pas.

Pour ma part, je me faisais vite au temps et à la température. Entrant dans le bâtiment ensemble, je regarde un peu partout et revois le passage que j'avais pris ce matin pour allez à l'amphithéâtre. Me tournant alors vers Cassi, quand elle reprend la parole. Je hausse les épaules et répond :

- Je ne sais pas, mais je pense qu'il faut bien qu'il trouve quelques choses pour virer les plus faibles.